On a jamais vraiment été, même lorsque ça caillait grave dehors et que dedans, c’était brulant, qu’il n’y avait d’autre à envisager que d’étreindre un rêve d’immortalité, jamais vraiment, les atomes un peu ici, un peu partis, un peu barrés, un peu trop loin, jamais vraiment, parfois quand même un peu frangin, les soirs oùLire la suite « Chroniques »